Ben Wedgie — pêche à nu, boots vertes et fantasme sauvage

Sur Instagram, @benwedgie s’est taillé une place à part : un mec tatoué, sûr de lui, qui mêle éditorial sexy, humour canaille et sensualité brute. Son univers flirte avec le fétiche, la sueur et la mise en scène du corps — toujours assumé, toujours magnétique.

Dans cette série au bord de la rivière, la nature devient studio. L’eau sombre, la forêt humide, le sifflement du fil… et Ben, nu comme un dieu, ne gardant que ses cuissardes vertes. Les épaules travaillent au lancer, les obliques se contractent, la peau prend cet éclat mouillé qui fait monter la température. Il ajuste sa casquette, rit à demi, laisse la lumière glisser sur ses cuisses et souligner la cambrure d’un fessier ferme.

Debout dans le courant, il contrôle chaque geste : poignée du moulinet, tension du fil, respiration calme. La scène est simple mais chargée — un fantasme de plein air où tout est rythme et matière : mousse, bois, eau, chair. L’érotisme vient sans forcer, comme un frisson qui remonte le long des waders pour venir mourir sur les hanches.

Ce “river porn-chic” lui va comme un gant. Ben aime les concepts clairs, les jeux de texture, la vérité de la peau au contact des éléments. Qu’il lance la ligne ou relève la cuissarde, il garde cette présence tranquille qui plante le décor : homme de nature, tatoué, sauvage, à l’aise avec son corps et avec notre regard.

Beaux Mecs aime quand la beauté masculine respire, transpire, s’expose sans détour. Ici, la prise est belle : un trappeur moderne au sourire d’incendiaire, qui transforme une partie de pêche en scène de désir à ciel ouvert.